Ce que l’homme a cru voir, quelque part, ne s’oublie pas. Ce livre est à la fois une promenade dans le temps et une photographie mouvante des ruines d’Oradour aujourd’hui, une image saisie par la seule musique des mots.
Il veut aussi rappeler qu’il y avait de la vie, au coeur de ces ruines, avant le brutal arrêt sur image du 10 juin 1944. Par son style parfois poétique – terme presque déplacé ici –, par des mots de tendresse porteurs en même temps d’une sourde et salubre colère, Jean-Louis Marteil (...)
Deuxième Guerre mondiale
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Oradour-sur-Glane aux larmes de pierre
15 mars 2006